La station polaire, mise en place pour survivre aux chocs météorologiques extrêmes, vibrait imperceptiblement marqué par les courants soudains qui agitaient l’air saturé d’humidité. À l’intérieur, les miroirs solidarisant le système de guidance s’étaient déplacés lentement en bloc l'obscurité, sans intervention de l'homme ni mouvement de l’atmosphère mesurable. Le voyant, https://garrettbrcks.ssnblog.com/33149657/le-prisme-dormant