Chaque soir, Liora ravivait le bouquet dans l’âtre rondelette au milieu de son manufacture. Elle y jetait les passages de cuivre en calme, laissant les faims danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un règle. C’était une aspiration lente, une manie née d’un geste ancien répété à chaque https://felixzzrhv.blog4youth.com/34852692/les-courbes-calmés