Les journées passaient dans un valeur pérenne, rythmés par la luminosité pâle du nord et les réformations ritualisés des corneilles. À l’aube, elles s’élevaient lentement, en spirale, tels que si le ciel lui-même les aspirait à estampiller des signaux intangibles. L’enfant, désormais adolescente, se tenait n'importe quel matin au coeur https://fernandoftahl.blogsmine.com/34641824/le-cercle-sinistre