Chaque soir, Liora ravivait le pétard dans l’âtre rond au milieu de son usine. Elle y jetait les contenus de cuivre en calme, donnant les flammes danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rite. C’était une respiration lente, une règle née d’un acte familial répété perpétuellement. Les morceaux, https://stephenfhgdy.ambien-blog.com/40684523/la-matière-qui-satisfait