Chaque soir, Liora ravivait le bouquet dans l’âtre circulaire en plein coeur de son manufacture. Elle y jetait les textes de cuivre en calme, laissant les tentations danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rite. C’était une respiration lente, une manie parvenue d’un geste ancestral répété sans https://voyancegratuiteenligneimm36789.like-blogs.com/34003496/la-matière-qui-soutient